•  Site interactif ludique pour tous les passionnés de cinéma.

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    UPoPi, acronyme pour « université populaire des images », est un site
    d’éducation artistique, composé à la fois d’un webmagazine mensuel
    et d’une plateforme pédagogique interactive ludique, structurée selon 4
    grandes entrées principales : Analyser, Apprendre, Transmettre, Voir. Sont
    proposés en accès libre, autour d’un thème mensuel, des courts
    métrages, des analyses d’images, des contenus sur l’histoire et les
    métiers de l’image, un cours de cinéma interactif, ainsi que de
    nombreuses propositions pédagogiques. 


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  • C'est presque à la fin de ce long ouvrage d'introspection et de réflexion que Montaigne nous offre avec conviction sa conception de la sagesse.

    De L'expérience

    Quand je danse, je danse ; quand je dors, je dors ; voire et quand je me promène solitairement en un beau verger, si mes pensées se sont entretenues des occurrences étrangères quelque partie du temps, quelque autre partie je les ramène à la promenade, au verger, à la douceur de cette solitude et à moi. Nature a  maternellement observé cela, que les actions qu’elle nous a enjointes pour notre besoin nous fussent aussi voluptueuses, et nous y convie non seulement par la raison, mais aussi par l’appétit : c’est injustice de corrompre ses règles. Quand je vois et César et Alexandre (1) , au plus épais de sa grande besogne, jouir si pleinement des plaisirs naturels, et par conséquent nécessaires et justes, je ne dis pas que ce soit relâcher son âme, je dis que c’est la roidir (2), soumettant par vigueur de courage à l’usage de la vie ordinaire ces violentes occupations et laborieuses pensées. Sages, s’ils eussent cru que c’était là leur ordinaire vacation (3) , celle-ci l’extraordinaire. Nous sommes de grands fols : « Il a passé sa vie en oisiveté, disons-nous ; Je n’ai rien fait d’aujourd’hui. - Quoi ! avez-vous pas vécu ? C’est non seulement la fondamentale, mais la plus illustre de vos occupations. - Si on m’eût mis au propre des grands maniements, j’eusse montré ce que je savais faire. - Avez-vous su méditer et manier votre vie ? vous avez fait la plus grande besogne de toutes. » Pour se montrer et exploiter, nature n’a que faire de fortune (4)  ; elle se montre également en tous étages, et derrière, comme sans rideau. Composer nos mœurs est notre office, non pas composer des livres, et gagner, non pas des batailles et des provinces, mais l’ordre et tranquillité à notre conduite. Notre grand et glorieux chef d’œuvre, c’est vivre à propos.

    1 Célèbres conquérants de l’antiquité.

    2 Raidir.

    3 Occupation.

    4 Destinée

     

    Dans le chapitre qui se penche sur la vanté humaine, Montaigne nous fait part de sa conception du voyage. Sa façon de visiter les contrées étrangères obéit aux mêmes principes que sa manière de penser : loin des sentiers tracés et des idées préconçues, à la recherche de ce qui est nouveau, différent.

     

    De la vanité

    Moi, qui le plus souvent voyage pour mon plaisir, ne me guide pas si mal. S’il fait laid à droite, je prends gauche : si je me trouve mal propre à monter à cheval, je m’arrête. Et faisant ainsi, je ne vois à la vérité rien qui ne soit aussi plaisant et commode que ma raison. Il est vrai que je trouve la superfluité toujours superflue, et remarque l’empêchement (1)  en la délicatesse (2) même et en l’abondance. Ai-je laissé quelque chose à voir derrière moi ? J’y retourne : c’est toujours mon chemin. Je ne trace aucune ligne certaine, ni droite ni courbe. Ne trouvé-je point, où je vais, ce qu’on m’avait dit ? Comme il advient souvent que les jugements d’autrui ne s’accordent pas aux miens, et les ai trouvés plus souvent faux, je ne plains (3)  pas ma peine : j’ai appris que ce qu’on disait n’y est point. J’ai la complexion du corps libre (4) , et le goût commun autant qu’homme du (5) monde. La diversité des façons (6) d’une nation à autre ne me touche que par le plaisir de la variété. Chaque usage a sa raison. Soient des assiettes d’étain, de bois, de terre, bouilli ou rôti, beurre ou huile de noix ou d’olive, chaud ou froid, tout m’est un : et si un, que vieillissant, j’accuse cette généreuse faculté et aurais besoin que la délicatesse et le choix arrêtât l’indiscrétion (7)  de mon appétit et parfois soulageât mon estomac. Quand j’ai été ailleurs qu’en France, et que, pour me faire courtoisie, on m’a demandé si je voulais être servi à la française, je m’en suis moqué et me suis toujours jeté aux tables les plus épaisses d’étrangers. J’ai honte de voir nos hommes enivrés de cette sotte humeur de s’effaroucher des formes (8)  contraires aux leurs : il leur semble être hors de leur élément quand ils sont hors de leur village. Où qu’ils aillent, ils se tiennent à leurs façons et abominent les étrangères. Retrouvent-ils un compatriote en Hongrie, ils festoient cette aventure : les voilà à se rallier et à se recoudre ensemble, à condamner tant de mœurs barbares qu’ils voient. Pourquoi non barbares, puisqu’elles ne sont françaises ? Encore sont-ce les plus habiles qui les ont reconnues, pour en médire. La plupart ne prennent l’aller que pour le venir (9) . Ils voyagent couverts et resserrés d’une prudence taciturne et incommunicable, se défendant de la contagion d’un air inconnu. Ce que je dis de ceux-là me ramentoit (10), en chose semblable, ce que j’ai parfois aperçu en aucuns de nos jeunes courtisans. Ils ne tiennent qu’aux hommes de leur sorte, nous regardant comme gens de l’autre monde, avec dédain ou pitié. Ôtez-leur les entretiens des mystères de la cour, ils sont hors de leur gibier (11), aussi neufs (12) pour nous et malhabiles comme nous sommes à eux. On dit bien vrai qu’un honnête homme c’est un homme mêlé. Au rebours, je pérégrine (13) très saoul (14) de nos façons, non pour chercher des Gascons en Sicile (j’en ai assez laissé au logis) : je cherche des Grecs plutôt, et des Persans : j’accointe (15) ceux-là, je les considère (16) : c’est là où je me prête et où je m’emploie. Et qui plus est, il me semble que je n’ai rencontré guère de manières qui ne vaillent les nôtres. Je couche de peu (17), car à peine ai-je perdu mes girouettes de vue.

    - 1 Embarras -2 Raffinement  -3 Regrette  -4 Celui qui n’est pas lié par des goûts particuliers  -5 Au - 6 Usage  -7 Manque de retenue, intempérance  -8 Manières d’agir -9 Ne partent que pour revenir - 10 Me rappelaient  -11 Perdus  -12 Novices, débutants  -13 Je voyage -14 Las  -15 J’aborde, je fréquente  -16 Je m’intéresse à eux  -17 Je m’avance peu 

      A partir de l'étymologie des mots "barbares" et " sauvage", Montaigne mène une réflexion sur la signification de ces termes et sur le rapport que les européens entretiennent avec les notions de nature et de culture. Il en déduit que les "barbares", les "sauvages", ne sont pas ceux que l'on croit.

    Des Cannibales

     

     “Or je trouve, pour revenir à mon propos, qu'il n'y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, à ce qu'on m'en a rapporté : sinon que chacun appelle barbarie, ce qui n'est pas de son usage. Comme de vrai nous n'avons autre mire de la vérité, et de la raison, que l'exemple et idée des opinions et usages du pays où nous sommes. Là est toujours la parfaite religion, la parfaite police, parfait et accomply usage de toutes choses. Ils sont sauvages de mêmes, que nous appellons sauvages les fruicts, que nature de soy et de son progrez ordinaire a produicts : là où à la verité ce sont ceux que nous avons alterez par nostre artifice, et destournez de l'ordre commun, que nous devrions appeller plustost sauvages. En ceux là sont vives et vigoureuses, les vraies, et plus utiles et naturelles, vertus et proprietez ; lesquelles nous avons abâtardies en ceux-ci, les accommodant au plaisir de notre goût corrompu. Et si pourtant la saveur même et délicatesse se trouve à notre goût même excellente à l'envi des nôtres, en divers fruits de ces contrées là, sans culture : ce n'est pas raison que l'art gagne le point d'honneur sur notre grande et puissante mère Nature. Nous avons tant rechargé la beauté et richesse de ses ouvrages par nos inventions, que nous l'avons du tout étouffée. Si est-ce que par tout où sa pureté reluit, elle fait une merveilleuse honte à nos vaines et frivoles entreprises.

    Tous nos efforts ne peuvent seulement arriver à representer le nid du moindre oyselet, sa contexture, sa beauté, et l'utilité de son usage : non pas la tissure de la chetive araignée. Toutes choses, dit Platon, sont produites ou par la nature, ou par la fortune, ou par l'art. Les plus grandes et plus belles par l'une ou l'autre des deux premieres : les moindres et imparfaictes par la derniere.

    Ces nations me semblent donc ainsi barbares, pour avoir receu fort peu de façon de l'esprit humain, et estre encore fort voisines de leur naifveté originelle. Les loix naturelles leur commandent encores, fort peu abbastardies par les nostres : Mais c'est en telle pureté, qu'il me prend quelque fois desplaisir, dequoy la cognoissance n'en soit venuë plustost, du temps qu'il y avoit des hommes qui en eussent sçeu mieux juger que nous.”

    Montaigne Livre 1, chapitre 31 « Des cannibales » Les Essais


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  •     La nouvelle à chute impose deux lectures : une première découverte du texte, au cours de laquelle on se laisse emmener par l'intrigue, toujours brève, concentrée donc puissante, jusqu'à parvenir au terme du récit où le plaisir est toujours là mais variable : soit, le lecteur est parvenu à anticiper la fin et il éprouve une grande satisfaction à voir son hypothèse se confirmer ( "élémentaire mon cher Watson"), soit il est agréablement surpris par une chute originale que l'auteur lui a "concocté" avec astuce (Et nous avons envie de dire, comme M. Jourdain :"Ah! Comme cela est beau!").

        La deuxième lecture réserve une troisième sorte de plaisir : découvrir les fils de l'illusionniste, partir à la recherche de tous les indices que le narrateur a placés sur notre chemin, pour mieux nous guider ou au contraire nous égarer. On participe au plaisir de l'écriture, comme si la nouvelle se créait une deuxième fois sous nos yeux.

       Voici quelques nouvelles très courtes, fantastiques ou de science-fiction, écrites par des élèves de seconde ( années antérieures), qui pourront vous servir de modèles ou vous inspirer.

    Bonne lecture!

    Productions d'élèves : nouvelle à chute.

     

    Productions d'élèves : nouvelle à chute.

     

    Productions d'élèves : nouvelle à chute.

     

    Productions d'élèves : nouvelle à chute.

     

    Productions d'élèves : nouvelle à chute.

     

    Productions d'élèves : nouvelle à chute.


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  • critiques de lectures cursives réalisées par les élèves

     Marion Beck

    critiques de lectures cursives réalisées par les élèves

     Claire Ponnelle

     

    critiques de lectures cursives réalisées par les élèves

     Manon Grillet

     

    critiques de lectures cursives réalisées par les élèves

     

    critiques de lectures cursives réalisées par les élèves

     

    Basile Vincent


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  •     Comparez ces trois couvertures  d'un même recueil de nouvelles. Elles révèlent ( à l'insu de leur auteur?) ce que chacun des élèves a apprécié dans ces histoires. Le texte est à chaque fois en accord avec l'illustration.  

    Cliquez sur les images pour les lire plus facilement.

    Travaux d'élèves : la couverture de roman.

     O. Guillemier.  

     

    Travaux d'élèves : la couverture de roman. 

     

    Travaux d'élèves : la couverture de roman.

     E. Campos

     

          Commentaire : 

    • la première production met en valeur la trilogie policière : chaque vignette en couverture illustre l'une des trois nouvelles. C'est le personnage principal qui est au centre de l'image. La quatrième de couverture fait écho à ce choix :  1er paragraphe : "3 nouvelles"; 2ème paragraphe :" trois enquêtes"; 3ème paragraphe ( comme il se doit!) : le sujet de chacune de ces nouvelles.  Trois paragraphes pour trois images pour trois nouvelles pour trois enquêtes : bien joué , non?
    • la deuxième production : elle souligne la fascination que le fameux commissaire Adamsberg a exercé sur l'élève ( et elle n'est pas la seule! Ce personnage rencontre un succès impressionnant auprès des lectrices!) . La première de couverture est totalement centrée sur le bureau du commissaire. A droite, derrière la fenêtre, on retrouve le banc qui figure dans la première production. Mais le bureau est vide. Où le commissaire se trouve-t-il? Ah oui, l'élève l'a bien compris : ce diable d'homme est anticonformiste au possible! Il ne peut pas réfléchir comme tout le monde, assis devant un ordinateur : il éprouve le besoin d'arpenter les rues pour s'éclaircir les idées.La quatrième de couverture: bien que la formulation des idées soit parfois un peu maladroite, la quatrième de couverture remplit son office; il est logique que la présentation de l'oeuvre s'ouvre sur un portrait élogieux du personnage principal, "un formidable commissaire ", que l'on peut résumer en trois mots (encore "trois") : "patience", "instinct", "perspicacité". Bien vu!
    • la troisième production est l'oeuvre d'une élève -artiste, très douée en Arts Plastiques. Sa couverture se focalise sur le titre : "Coule la Seine". D'une pierre deux coups : elle parvient à concrétiser par son dessin l'unité du recueil, une seule illustration pour trois nouvelles ( mais trois arcs sous le pont!) une seule image pour la première et la quatrième de couverture, procédé qui transmet bien cette impression d'écoulement , et...une nouvelle fois, la justification de ce choix par les habitudes du commissaire Adamsberg qui "préfère une balade sur les quais de la Seine pour obtenir les solutions". ( et à l'arrière-plan, toujours, un banc). 

     

    Voyez comme chaque élève est capable d'extraire seul l'essence du recueil, ce qui fait sa particularité ; ceci explique les points communs à chaque production et prouve bien que vous avez tous acquis des compétences de lecteurs sans que vous en preniez forcément conscience. Mais vous pouvez aussi constater que, comme le disait Montaigne, chaque être humain est singulier et s'exprime avec sa propre sensibilité et sa propre vision des choses.

    Voici d'autres exemples : à vous de lire les livres et de commenter les travaux des camarades qui vous ont précédés.

    Travaux d'élèves : la couverture de roman.

    L. Trignau

    Travaux d'élèves : la couverture de roman.

    J. Gillier 

    Travaux d'élèves : la couverture de roman.

    Travaux d'élèves : la couverture de roman.

    A. Bidalot

    Travaux d'élèves : la couverture de roman.

     

    Travaux d'élèves : la couverture de roman.

     

    Travaux d'élèves : la couverture de roman.

     

    Travaux d'élèves : la couverture de roman.


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  •  Montaigne : Le goût du bonheur ou comment apprendre à vivre

                                              

                                                                                           

     

    Pourquoi étudier Les Essais au lycée? Première réponse : parce que c'est au programme, et c'est déjà une réponse acceptable. Deuxième réponse : en vérité, c'est parce que j'aime Montaigne. Ce fut l'une des rencontres les plus marquantes et les plus bénéfiques de mes études littéraires. Comment résumer, transmettre de façon concentrée tout ce que j'ai pu glaner au cours de mes lectures, et qui me laissait, à chaque fois, un goût de douce sérénité, de plénitude et, curieusement, de sécurité? Peut-être me suis-je sentie rassurée quand, à votre âge, je découvrais qu'il pouvait exister des êtres humains si sages, justes, bienveillants, libres, sans préjugés ni aucune limite dans la réflexion. Mais surtout, comment vous donner l'envie de le lire par vous-même? Peut-être en vous disant que, si la lecture vous en semble un peu "ardue", (à cause d'une langue qui, même modernisée, est encore éloignée de la vôtre), vous y prélèverez des germes qui resteront en vous et qui, un jour, au cours de votre vie d'adulte, fleuriront et vous aideront à comprendre, à supporter, à combattre ou à admettre des événements qui surgiront dans votre existence. 

        Le refus des vérités établies : Montaigne, c'est d'abord un esprit libre, qui , par son expérience personnelle et sa solide formation humaniste, comprend très rapidement avec une incroyable acuité qu'il n'existe pas de vérité établie ou universelle, que le monde est instable ( époque violente des guerres civiles), que les croyances, les coutumes sont multiples et relatives ( confrontation avec le Nouveau Monde). Il en tire une sagesse basée sur la volonté de comprendre, de ne pas juger à la seule mesure de sa propre opinion, et qui conduit à un esprit de tolérance. Les Essais, genre qu'il a inventé, sont le reflet de cette pensée toujours ouverte qui n'hésite pas à revenir sur ce qui a déjà été écrit, parce que la réflexion a été poussée plus loin, ou parce que de nouveaux éléments ( lectures, rencontres, discussions...) sont venus l'alimenter. Comme Montaigne le dit lui-même, son ouvrage progresse  "par sauts et gambades", selon son humeur ou le sujet qui occupe son esprit à un moment donné.

       Chaque homme porte en lui la forme entière de l'humaine condition : Montaigne analyse de la façon la plus naturelle possible, en toute sincérité, qui il est, ce qu'il éprouve, ce qu'il ressent, ce qui l'indigne. Mais alors même qu'il souligne sa singularité, il ne peut qu'insister sur la marque de toute condition humaine qui est en lui. . Chaque être humain est à la fois un être unique et en même temps un être semblable à tous les autres humains . Par conséquent, Les Essais deviennent un livre où chaque lecteur peut se découvrir et se comprendre. D'où cette idée de petits germes que nous gardons en nous et qui nous aident à grandir dans tous les sens du terme.

       L'amour de la vie et le goût du bonheur. Enfin, Montaigne est sans doute le premier auteur à m'avoir appris qu'il faut aimer la vie, prendre conscience du monde qui nous entoure, vivre pleinement chaque minute qui passe, savoir être heureux. Puisse-t-il vous procurer la même joie, le même bonheur.

       Un article consacré à Montaigne, qui nous le dévoile sous différentes facettes et tente de nous expliquer son immense et surprenant succès international : Pourquoi Montaigne nous obsède-t-il autant?

    http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20140822.OBS6952/pourquoi-montaigne-nous-obsede-t-il-autant.html

     

     

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    • Ils appartiennent au même siècle (XIXe)
    • Mais tout les oppose:

                      Mélodrame                                                       Vaudeville

    - public : peuple, classe populaire                           - bourgeoisie

    - registre : tragique, pathétique                               - satirique, comique

    - faire pleurer, créer des émotions fortes               - divertir

    - sujets : conflits entre une jeune innocente         -  conflits à rebondissements entre le mari,

    vulnérable et des êtres violents, mauvais.                 la femme et l'amant ou la maîtresse

    Histoires de crimes et de vengeance.


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